Victoria rêve, Timothée de Fombelle, Gallimard Jeunesse
Victoria rêve
d’aventures. Elle rêve de courir le monde en cargo, de nager avec des troupeaux
de chevaux, de s’habiller en hussard, d’être chef d’orchestre. Elle rêve de
cow-boys, d’indiens, d’ours et de tous les héros qui peuplent ses romans
préférés.
Car malheureusement pour Victoria, elle vit à Chaise-sur-le-Pont, « la ville la plus calme du monde occidental. » Et même pas un lion à des kilomètres à la ronde. Heureusement, dans sa maison de la rue de la Patinoire, qu’elle partage avec des parents bien trop sérieux et une grande sœur de 17 ans horripilante et déjà si vieille, Victoria peut compter sur sa bibliothèque – qu’elle appelle sa ligne d’horizon – pour s’évader. Mais depuis quelques temps, ses livres disparaissent. Et voilà que son voisin Jo lui parle de trois mystérieux Cheyennes et que son père s’habille en cow-boy. L’aventure n’est peut-être pas si loin tout compte fait…
Car malheureusement pour Victoria, elle vit à Chaise-sur-le-Pont, « la ville la plus calme du monde occidental. » Et même pas un lion à des kilomètres à la ronde. Heureusement, dans sa maison de la rue de la Patinoire, qu’elle partage avec des parents bien trop sérieux et une grande sœur de 17 ans horripilante et déjà si vieille, Victoria peut compter sur sa bibliothèque – qu’elle appelle sa ligne d’horizon – pour s’évader. Mais depuis quelques temps, ses livres disparaissent. Et voilà que son voisin Jo lui parle de trois mystérieux Cheyennes et que son père s’habille en cow-boy. L’aventure n’est peut-être pas si loin tout compte fait…
Ceux qui me
connaissent un peu savent que je suis une fervente amatrice de l’œuvre de
Timothée de Fombelle (lire aussi Tobie
Lolness).
Aussi, quand le
petit nouveau du papa de Vango et de Tobie est sorti, je me suis jetée dessus
avec une envie à peine dissimulée : quand Lui me l’a rapporté un soir, je
lui ai tout naturellement arraché des mains et l’ai collé contre mon
cœur !!
Dans ce court
roman plein de poésie et de tendresse, Timothée de Fombelle célèbre l’incroyable
force de l’imaginaire. Ici, la frontière entre réalité et imaginaire est sans
cesse repoussée et le lecteur lui-même se perd dans les méandres de
l’imagination de la jeune et intrépide Victoria. Il y célèbre surtout le
pouvoir de la lecture qui nous transporte, envers et contre tout, dans des
mondes toujours plus merveilleux.
Et Victoria rêve est un magnifique hommage
à la littérature jusque dans les merveilleuses illustrations – en couverture et
au fil du texte – de François Place. Décidemment leur duo fonctionne à
merveille.
En revanche, je
dois bien avouer que Victoria rêve
n’est pas mon préféré. Bien évidemment c’est extrêmement bien écrit et poétique
mais je reste malgré tout sur ma faim. C’est vrai quoi, on en veut toujours plus
avec Timothée de Fombelle ;-)
Cependant, j’ai
un véritable coup de cœur pour la version lue, qui est sortie simultanément. Décidément,
Monsieur Fombelle est un incroyable conteur, aussi bien à l’écrit qu’à l’oral.
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également mon avis sur BlablaYablog.
ELLE
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